Photo 816151Madame Géraldine LECLERCQ
Luc's knowledge, passion and compassion were hallmarks of his work to advance the health of women and prevent unnecessary deaths. He was always so full of energy and engaged his colleagues in thoughtful reflection, as well as plans for action. The global maternal health community is in Luc's debt and many women whom Luc never knew, benefitted from his contributions.
Photo 817811Madame Nicole le BUSSY
Vous présentent ses sincères condoléances.
Photo 817556Madame Liliane LASCHET veuve de Marc COLLETTE
Suite à cette douloureuse séparation, nous partageons votre peine et présentons, aux membres des familles concernées, nos plus chrétiennes condoléances.
Photo 817684Monsieur Léon KIERUZEL
A mon ptit Leon tu es parti rejoindre ton fils ,maintenant tu as recupere tes ailes vole vole et veille sur ta famille et tes amis de la Haut
Bisous volants
Photo 817596De heer Fabien De Muylder
Innige deelneming en heel veel sterkte toegewenst aan gans de familie in deze moeilijke tijden.
Geerts Rita.
Photo 817000Madame Gerda 't HART
Mijn lieve vriendin Gerda, we missen je al enorm...
Je wilde me nog een dezer dagen twee nieuwe wandelingen in Waharday laten zien, ik had nog soep voor je... maar het lot heeft anders beslist.
We zullen je nooit vergeten,

Heel veel sterkte Sofie, Bep, Jannie, Klaas, Wieselien, Tessa & Michiel
Isa, Roland, Léon, Caramel, Pascha en Juju
Photo 816966Madame Monique DENÈVE
Maman , Geoffroy, Catherine et Pierre-Alexandre se joignent à moi pour présenter notre profonde empathie à toute la famille et en particulier à Jean-Louis, Sylvie et Michel ... Personnellement, je garde le souvenir particulier de conversations très animées et agréables chez notre très chère cousine Francine
Photo 817054Madame Marie Angèle GENOVÈSE
Cher Michel. Je te présente toutes mes condoléances et te souhaite à toi et la famille, beaucoup de courage.
Photo 817038Monsieur René GOEBELS
Mireille, nous nous associons à ta douleur pour la perte de notre René national. A jamais dans nos coeurs. Courage Mimi.
Photo 817119Madame Virginie FRANÇOIS compagne de Vincent RENANT
Quels mots écrire sur ces maux ?
Aucun ne peut exprimer notre peine.
Encore moins celle de ta famille.
Tu es et resteras ma gentille et jolie petite sorcière bien aimée.
Tu es et resteras une amie.
Tu étais toi avec tes qualités et tes défauts.
Tu étais toi surtout,cette belle personne.
Merci pour ces 10 années auprès de Lauranne, ton petit Ronchonchon.
Tu es une étoile de plus dans le ciel.
Bon voyage ma petite Virginie.
Madame Yolande DUFRASNE
Mamie , voilà bientôt 9 ans que tu es partie et tu me manques tellement. Dans les mauvais moments, j'essaie de penser fort à toi pour que de la où tu es,tu puisses m'aider. Si tu étais encore là les choses auraient différentes. Je pense que maman et papa auraient pas divorcés, et maman n'aurait pas eu un comportement mauvais envers nous. Tati qui a couper les ponts .J'aurais tellement voulu que tu vois la femme que je suis devenue. Je t'aime tellement repose en paix 🕊
Photo 816967Monsieur Yves WAGENER
bonjour, je suis Manu, ça faisait 5 ans que j'étais ami avec Yves. une personne généreuse, qui se battait tous les jours pour ses 2 filles. avec sa santé 'fragile', il aimait aider les gens ! bon voyage mon ami, a bientôt pour encore rigoler avec toi 🙏🍻😉☕☀️
Photo 815502De heer Frans Van Gijsegem
Onze oprechte deelneming bij het overlijden van jullie vader.
Photo 816441Monsieur Léon MEURISSE
Chères Familles,
Nous apprenons le décès de Léon. Nous vous prions d'accepter, en famille, nos plus vives et nos plus sincères condoléances émues. Nous garderons toujours de Léon un doux et excellent souvenir.
Avec toute notre affection et nos très sincères amitiés. Beaucoup de courage à vous tous.

Willy et Rita.
Photo 816531Monsieur René BEAULIEU
J'étais un collègue de René à l'institut Cardijn. Je me sentais très proche de lui au point de vue pédagogique. Nous étions tous deux inspirés de la théologie de la libération. Et plus précisément, inspiré par la théologie négative; Dieu est cela même qui n'existe pas et qui doit advenir. C'est ce manque qui nous meut.
Adieu René, d'ici là tu me manqueras.
Paul
Photo 816225Madame Annette LEKEUX
Vole, vole chère cousine, va-t-en loin ; va-t-en sereine. Que ne te retienne ; l'hélico t'attend
Yolande & Alain
Photo 815958Madame Alizée BLAFFART
Pour Alizée,

Dans le silence de l'aube, une étoile s'est éteinte,
Alizée, douce âme, dans nos cœurs garde sa lumière étreinte.
Amoureuse des vents et des routes infinies,
Elle chevauchait la vie, libre et embellie.

Ses yeux reflétaient l'éclat des cieux étoilés,
Son rire, un chant d'espoir dans l'ombre dévoilé.
Auprès des animaux, elle trouvait son refuge,
Dans leur tendre étreinte, elle s'épanchait sans subterfuge.

Sur sa moto, elle voguait vers l'horizon,
Ses amis toujours là, liés par la même passion.
Ensemble, ils tissaient des liens d'amitié sincère,
Des souvenirs gravés, des moments à jamais éphémères.

Alizée, tu restes dans nos cœurs,
Ton amour pour la vie, jamais ne s'éteindra.
Dans le vent, dans les rires, dans les doux murmures,
Ton essence perdure, éternelle et pure.

Merci pour ces moments dans cette vie RDV dans une prochaine.

David W.
Photo 816144Monsieur Guy GOFFETTE
cher Guy, cela faisait des lunes et des lunes que tu faisais allusion à tes soucis de santé. Tu le faisais avec sérieux et ironie, ce qui semblait te préserver de la camarde. Nous en avions encore parlé lors de ta venue chez Tropismes. En septembre de l'an dernier, retour de Burgos dont tu me fais parvenir une vue du cloître et de la porte de Santa Catalina -en réponse à mon envoi de la vue du château de Bussaco cher à Philippe Soupault -, tu parlais de "te distraire de ton mal " qui hypothéquait lecture et écriture. Dans tes voeux du 24 janvier, toujours dans ta grande écriture ouverte, aux caractères noirs d'encre, -tu t'inquiétais de ma santé-, tu parlais également de la tienne " en carton ", disais-tu. Tu terminais sur ton souhait de lire mes dernières réflexions sur trois anges du désastre en ajoutant : " tes anges m'intéressent fort au demeurant , s'ils pouvaient venir à mon secours. Je plaisante à peine."
        Tu en étais alors à devoir lire debout, " comme un vieux curé son bréviaire", et le faisais avec le Verhaeren de Stefan Zweig. C'est qu'il t'a toujours fallu lire et relire. En 2022, tu te ressources et te nourris des Mémoires de monsieur de Saint Simon, du Journal de Charles Du Bos et des textes de Michel de Ghelderode. Bref, tu es et seras toujours en Littérature. N'as-tu pas donné en 2011, pour le centième anniversaire de la naissance des éditions Gallimard, un merveilleux et décapant "Album Claudel", ce poète " souverainement marginal", ce dramaturge "tumultueux qui faisait danser comme personne sur les planches les images d'une vie abouchée à l''Absolu. Affronter Prouhèze ou les "Grandes Odes" n'est pas donné à quiconque t'allait à ravir.
        La soirée d'automne du10 novembre 2023 chez Tropismes te donna l'occasion de quelques saillies bien venues et bien senties à propos de notre littérature et de sa singularité. Tu tins à m'y associer avec insistance. C'était un de nos vieux combats, combat tel, qu'il y a bien longtemps, j'avais pensé à toi pour reprendre mes fonctions de conseiller littéraire du ministère à l'heure où je devenais commissaire au livre.
        En somme, tu l'es devenu, mais sous d'autres cieux, ils t'ont offert une vie plus large. Certes, à Paris, où ta joie de vivre et de boire faisait merveille, tu n'es jamais parvenu à faire vraiment sauter le verrou français hiérarchisant à l'égard des littératures francophones. " Placer un article sur un écrivain belge en France, m'écrivais-tu, c'est la croix et la bannière, crois-moi. J'ai essayé avec Loreau, van Hirtum, etc. A part la NRF, la Quinz er les revuettes, zéro." Même à la NRF, les portes s'étaient fermées. Tes papiers sur mes trois tomes d'"Histoire Forme et Sens en Littérature" n'ont jamais pu franchir ses portes d'airain. Ils impliqueraient une modification des discours et des points de vue, ceux-ci te semblaient essentiels .
        Nous ne cessâmes pas pour autant de nous croiser, avec des moments singuliers dont ce colloque Michaux de 1994 à Coimbra au cours duquel Bruno Roy, dans les couloirs , faisait l'éloge du salazarisme. Toi, tu pétais la flamme, le désir. et l'impertinence doucement insolente. Le passage- sans reniement du poétique- s'amorçait vers les proses, Il allait t'amener à faire resurgir sans fard une " enfance lingère" et ses diverses initiations dans ta Gaume natale.
        Nos rencontres pouvaient également être indirectes. De temps à autre, une étudiante ou une chercheuse étrangère survenue sur mes chemins de " Passeur des Francophonies" venait me poser des questions sur ton oeuvre ou, mieux encore, entretenir nos collègues d'une savante analyse de tes textes. Le hasard des routes fit en outre se retrouver à Bruxelles les vieux briscards que nous étions devenus, et qui passèrent des heures plus que mémorables. Comme si le sillon fécond du tournant du début des années nonante n'avait jamais été interrompu. Ni notre commune fidélité à Max Elskamp.
Photo 803228Monsieur Ghislain HEYNEN
c'est avec une énorme tristesse que j'ai appris ton décès ,nous avons voyagé ensemble dans la vie de très bons moments.je garderai des moments merveilleux et inoubliames ,;triste d'avoir un ami cher à mon coeur.
je sais que tu as beaucoup souffert et tu es resté digne et honnete ,Merci de t'avoir connu Philippe et feu Gabriel
Photo 816310Monsieur Jean-Pierre BOUSMAN
Je suis vraiment de tout cœur avec toi, Valérie, et avec toute ta famille. Je vous présente mes sincères condoléances.
Perdre un papa, c'est perdre une partie de soi. Mais on est là pour poursuivre le chemin qu'il nous a offert.
Bon courage.

Isabelle
Monsieur Antonio RAMOS JERONIMO
A vida tem vários mistérios, e o maior deles é a morte.A dor que sentimos é imensurável.........
Não há nada capaz de reparar uma perda como esta, mas em nome da amizade e amor de quem fica, e em honra da memória de quem se foi, é preciso continuar vivendo. É preciso transformar o luto em uma luta pela vida e pela felicidade, e transformar a dor em saudade e serenidade...
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La vie a plusieurs mystères, et le plus grand est la mort. La douleur que nous ressentons est incommensurable. Il n'y a rien qui puisse réparer une telle perte, mais au nom de l'amitié et de l'amour de ceux qui restent, et en l'honneur de la mémoire de ceux qui sont décédés, il est nécessaire de continuer à vivre. Il est nécessaire de transformer le deuil en une lutte pour la vie et le bonheur, et de transformer la douleur en désir et en sérénité. Jorge
Photo 816151Madame Géraldine LECLERCQ
Ma petite Gégé.
Hier j'ai appris ton décès, et mon cœur s'est serré d'un coup, comme écrasé.
Ensuite, je l'ai annoncé à mon compagnon et les larmes me sont venues, j'ai commencé à pleurer. Comme si le dire à voix haute confirmait que la nouvelle n'était pas fictive, mais bien réelle.
Certes, cela faisait 12 ans que nous nous étions plus vues, mais mes larmes prouvent que les années passées à tes côtés m'ont marquées. Chaque souvenir de toi, chaque photo de toi souriante et je sens ta présence en vrai, j'entends ton rire si accrochant.
Pas que moi d'ailleurs. Tous les étudiants avec qui nous avons fait les 400 coups sont profondément attristés par ta disparition si soudaine. Toi, notre Gégé, notre maman du groupe, notre présidente, notre fêtarde, tu étais tellement présente dans notre vie quotidienne en ce temps. Alors que nous si jeunes, la plupart vivants chez papa et maman, toi tu bossais les weekends pour te payer le kot et autres, tu prenais ton rôle de grande tata et marraine très aux sérieux. Pourtant c'était toi là première à aider l'un d'entre nous pour rester une nuit ou deux, à partager tes maigres rations. Pas d'argent pour venir boire un verre ? Pas de problème, tu payais avec grand cœur un ou deux verres pour que la personne ne se sente pas à l'écart ! Mais pas que dans la déconnade, aussi présente dans le soutien. Quand l'un de nous se sentait déprimé, triste, une peine d'amour... on pouvait compter sur ton oreille attentive et tes épaules solides pour nous consoler. Jamais tu te moquais de nos peines aussi futiles qu'elle soient. Une générosité rare qui du premier jusqu'au dernier jour de ta vie te caractérisera à jamais et laquelle tous les gens qui ont croisé ta route, s'en souviendront à jamais.
Croyez-moi quand je vous dis que malgré les années qui nous ont séparées, où nous avons chacune construit notre vie, la perte de Géraldine nous affecte tous profondément. La connaissant elle s'etonnerait déjà de ces mots et me dirait quelque chose comme "t'es con" pour cacher ses émotions, avec un petit coup d'épaule. Il te fallait peu de choses pour que tu sois heureuse. Une présence, un mot gentil, une bonne bouffe. Travailleuse et en même temps bonne vivante sachant profiter de sa famille et ses amis. Là où beaucoup de personnes se cassent la tête avec des futilités, toi tu profitais à fond. Tout valait le coup de vivre.
On t'aime Gégé, je te le dis avec toute la sincérité de mon coeur, de nos cœurs à tous. Tu nous manqueras profondément et ton départ si soudain laissera un néant dans le coeurs de tes proches. Repose en paix.
Photo 816221Madame Marie-Rose BERTIN
Repose en paix ma chère amie. Je garde pleins de bons souvenirs de toi et de notre amitié.
Bises à toi.
Charlotte.
Photo 816140Madame Marie-Louise HUPPE
Nous vous présentons nos plus sincères condoléances
Bon courage pour toute toute la famille

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