Photo 848233Monsieur Marc FRERES
C’est avec une grande tristesse que nous apprenons le décès de Monsieur
Marc Frères .
Confrère de grande qualité .
Nous présentons nos sincères condoléances à toute la famille.
.
Photo 848088Monsieur Léon VAN RYMENAM
Encore un ancien du RFC Seraing qui nous quitte. .Nous sommes tous en deuil du moins les quelques uns de cette glorieuse période. Repose en paix
cher Lèon.
Robert DESADELEER Gino DISTEPHANO Jean Cromps José Acencio Jean-MICHE Renaud HAYART etc.
Photo 848310Monsieur Jacques DUFOUR
Christian, Pascale , Françoise , c’est avec une grande émotion que je viens de voir le décès de votre papa , je vous présente mes plus sincères condoléances, ainsi qu’à tous ceux qui vous entourent. Petit enfants,et arrière petits-enfants. Je partage votre douleur car la perte d’un parent est toujours douloureux, surtout quand il s’agit d’un monsieur comme Jacques. Gentil, généreux, patient et bon.
triste de ne pouvoir venir vous témoigner mes condoléances, Mais sachez que je suis de tout cœur avec vous. Courage à la famille . Annick
Photo 847939Monsieur Jean DORMAL
Nous présentons nos condoléances et profond respect à toute la famille. Beaucoup de courage en ces moments difficiles.
Famille Marchoul-Conrad
Madame Maria CARRETTA
maman deja un an que tu nous a quitte emportee par cette maladie,malgre ton caractere battant cette maladie a gagnee.Tu me manque tellement .Tu es et tu resteras a jamais dans mon coeur.Je t aime maman
Photo 847078Monsieur Médéric ROBERT
Médé...
En ce triste jour d'aurevoir, je prends ma plume pour te balancer quelques pensées.
Rien à comparer avec les rimes d'MC Solaar..J'assume!
Je me joins au chagrin de tes proches et te fais un hommage pas très loin de la plage.
J'aurais aimé t'accompagner pour ces derniers instants, mais le vent en a décidé autrement.
Et puis, maintenant tu es là, ici et partout autour de nous.

Plus de toi dans 7 ans
Pour nous rappeler que la vie passe
Et que ça aurait fait 20 ans

Visite de Gogo à Munich
Un long WE chez les casques à pointe
Pour boire des pintes
Manger du gras et du pu'
Arrêt Burger King - whopper Obligé
Rigoler, tellement rigoler

Médé Forever
On n'attendra plus jamais les surfers
Plus de pu' et de co' pu' pu'
Mais à jamais dans nos coeurs

Fini ce bon vieux rire qui faisait rire
Fini tes conneries postées sur FB
Qui mettaient un peu de légèreté
Dans nos rythmes effreinés
Plus de toi physiquement parmi nous
Mais ton souvenir dans nos coeurs à jamais gravé

Encore jeune ou déjà vieux
Tel était déjà la question
A l'ocassion de tes 35 ans
Ça ne fait que 11 ans

Mais aussi, selon ta célèbre maxime
Pas de regrets
Que de projets

Quelque chose me dit
que là où tu es parti les Gr's sont plus verts

A ton dernier voyage
Ils en ont de la chance là-haut

Merci l'ami Médé
Pour tout ce que tu nous as apporté
Tu récoltes aujourd'hui tout l'amour que tu as semé

Biz au chat
Amitiés
Repose en paix tu l'as mérité

Gigi
Photo 847551Madame Louise BOEUR
Nous prenons part à votre peine et présentons a toute la famille nos sincères condoléances. Courage a vous. Michel et Jacqueline Hansen gueben
Photo 847456Monsieur Philippe Remacle
Monsieur Remacle,

Ce samedi, je devais tourner un court métrage. Je l’ai écrit, je l’ai préparé, et je m’apprêtais à le tourner. Je n’ai pas forcément pensé à vous pendant que je préparais ce tournage. Et pourtant, vous étiez là, à chaque instant. Chaque fois qu’une nouvelle lubie artistique me venait en tête, vous étiez là. Parce que oui, des lubies artistiques, je les accumule depuis un moment. C’en est même devenu mon métier, d’imaginer des trucs un peu fou, de partager mes idées à mes proches, de les voir lever les yeux au ciel, et puis de les faire malgré tout. Oui, je suis aujourd’hui comédien, metteur en scène et puis apparemment, depuis ce samedi, je suis aussi réalisateur. Bon, chacun ses choix. C’est vrai que ce sont les miens après tout. Mais ça ne m’est pas venu du jours au lendemain. Et si vous m’aviez vu à treize ans, vous vous seriez dit que ça ne devait jamais venir. Et pourtant, je suis bien là. Comme un imbécile à passer des heures et des heures de travail pour ensuite faire l’imbécile devant des gens. Cette dépendance à la force des mots, à l’amour de l’art, à la création tout simplement, je vous la dois entièrement. Si j’ai un jours rêvé de vivre de ma passion, vous m’avez donné toutes les clefs pour y arriver. À treize ans, j’étais timide, renfermé, pas sûr de moi et aujourd’hui,... bon je suis toujours timide, renfermé et pas sûr de moi, mais par contre, cet amour de l’art, je ne l’avais pas et personne ne me l’a mieux transmis que vous. J’avais si peur de parler à plus de trois personnes, et vous, vous m’avez obligé à parler devant des dizaines des camarades de classe, des milliers dans ma tête. Qui pourrait croire que parler devant des gens, ça pouvait être amusant ? Pire, que ça pouvait vous libérer. Jouer, c’est devenir libre. Écrire, c’est se libérer et libérer les autres. Vous avez passé des heures à écrire des textes, juste pour nous, vous avez perdu des heures à nous regarder massacrer ce même texte, gratuitement, en dehors de vos heures de cours, sans grimacer, mais au contraire en nous faisant évoluer, en nous donnant vos conseils. Vous avez monté chaque année vos projets théâtraux. Chaque année une nouvelle pièce. Et avec quelle plume, quel talent. Comment est-ce possible que ce talent n’aie pas émergé bien au-delà des écoles ? Vous avez passé du temps pour nous, des centaines d’heures. Je le sais, j’écris moi-même pour des élèves aujourd’hui, je sais le temps que ça prend, vous ne pouvez plus me mentir, et je sais qu’on le fait pour rien, que vous l’avez fait pour nous, juste pour nous, comme je le fais aujourd’hui juste pour eux. Mes souvenirs de secondaire, c’est vous. Cosinus, sinus peut-être, mais parlez moi plutôt de « Comédienne » ou « la vieille » mon tout premier rôle,.. Ce n’est « que » du théâtre diraient certains. Des vieux cons si vous voulez mon avis. C’est du théâtre, oui et ce théâtre, c’est une fierté, c’est ma vie et c’était aussi la vôtre. Vous m’avez dit lors ma dernière pièce avec vous, lors de ma dernière année à Saint Roch, que je me souviendrai de mes secondaires par ces moments scéniques. Vous aviez à moitié raison. Je me souviens tout autant de mes années sur scène que je me souviens de vous. Saint Roch, c’était vous. Vous avez permis de faire de mon rêve une réalité. Vous avez toujours été là. Et aujourd’hui, alors que je devais tourner mon premier court métrage, vous êtes là. Près de moi. Vous m’avez libéré, comme tant d’autres avant moi, comme tant d’autres après moi. Alors de fait, vous vous êtes fait une place de choix dans mon cœur, dans mon esprit. Monsieur Remacle, vous êtes mon mentor et vous resterez mon mentor à tout jamais. Je ne crois pas à l’au-delà, je ne crois donc pas que votre vie se prolonge dans un endroit avec des gens sur des nuages, et un mec barbu qui vous dit ce qui est bien ou est mal. Par contre, je crois qu’on ne cesse jamais d’exister tant qu’il y a une personne pour penser à vous. Vous étiez là hier, vous étiez là aujourd’hui pour mon t
Photo 847456Monsieur Philippe Remacle
Monsieur Remacle,
Ce samedi, je devais tourner un court métrage. Je l’ai écrit, et je m’apprêtais à le tourner. Je n’ai pas forcément pensé à vous pendant que je préparais ce tournage. Et pourtant, vous étiez là, à chaque instant. Chaque fois qu’une nouvelle lubie artistique me venait en tête, vous étiez là. Parce que oui, des lubies artistiques, je les accumule depuis un moment. C’en est même devenu mon métier, d’imaginer des trucs un peu fou, de partager mes idées à mes proches, de les voir lever les yeux au ciel, et puis de les faire malgré tout. Oui, je suis aujourd’hui comédien, metteur en scène et puis apparemment, réalisateur. Chacun ses choix. Ce sont les miens après tout. Mais ça ne m’est pas venu du jours au lendemain. Et si vous m’aviez vu à treize ans, vous vous seriez dit que ça ne devait jamais venir du tout. Et pourtant, je suis bien là, à écrire sans cesse de nouvelles choses. Cette dépendance à la force des mots, à l’amour de l’art, à la création tout simplement, je vous la dois entièrement. Si j’ai un jours rêvé de vivre de ma passion, vous m’avez donné toutes les clefs pour y arriver. À treize ans, j’étais timide, renfermé, pas sûr de moi et aujourd’hui,... bon je suis toujours timide, renfermé et pas sûr de moi, mais par contre, cet amour de l’art, je ne l’avais pas et personne ne me l’a mieux transmis que vous. J’avais si peur de parler à plus de trois personnes, et vous, vous m’avez obligé à parler devant des dizaines des camarades de classe, des milliers dans ma tête. Qui pourrait croire que parler devant des gens, ça pouvait être amusant ? Pire, que ça pouvait vous libérer. Jouer, c’est devenir libre. Écrire, c’est se libérer et libérer les autres. Vous avez passé des heures à écrire des textes, juste pour nous, vous avez perdu des heures à nous regarder massacrer ce même texte, gratuitement, en dehors de vos heures de cours, sans grimacer, mais au contraire en nous donnant vos conseils. Vous avez monté chaque année vos projets théâtraux. Et avec quelle plume, quel talent. Comment est-ce possible que ce talent n’aie pas émergé bien au-delà des écoles ? Vous avez passé du temps pour nous, des centaines d’heures. Je le sais, j’écris moi-même pour des élèves aujourd’hui, je sais le temps que ça prend, et je sais qu’on le fait pour rien, que vous l’avez fait pour nous, juste pour nous, comme je le fais aujourd’hui juste pour eux. Mes souvenirs de secondaire, c’est vous. Cosinus, sinus peut-être, mais parlez moi plutôt de « Comédienne » ou « la vieille » mon tout premier rôle,.. Ce n’est « que » du théâtre diraient certains. Des vieux cons si vous voulez mon avis. C’est du théâtre, oui et ce théâtre, c’est une fierté, c’est ma vie et c’était aussi la vôtre. Vous m’avez dit lors ma dernière pièce avec vous, lors de ma dernière année à Saint Roch, que je me souviendrai de mes secondaires par ces moments scéniques. Vous aviez à moitié raison. Je me souviens tout autant de mes années sur scène que je me souviens de vous. Saint Roch, c’était vous. Vous avez permis de faire de mon rêve une réalité. Vous avez toujours été là. Et aujourd’hui, alors que je devais tourner mon premier court métrage, vous êtes là. Près de moi. Vous m’avez libéré, comme tant d’autres avant moi, comme tant d’autres après moi. Alors de fait, vous vous êtes fait une place de choix dans mon cœur, dans mon esprit. Monsieur Remacle, vous êtes mon mentor et vous resterez mon mentor à tout jamais. Je ne crois pas à l’au-delà, je ne crois donc pas que votre vie se prolonge dans un endroit avec des gens sur des nuages, et un mec barbu qui vous dit ce qui est bien ou est mal. Par contre, je crois qu’on ne cesse jamais d’exister tant qu’il y a une personne pour penser à vous. Vous étiez là hier, vous étiez là aujourd’hui pour mon tournage, et vous serez donc là demain, puisque demain, c’est montage, et que j’ai pas envie de me farcir ça tout seul.
Merci monsieur Remacle. Merci l’artiste. Merci l’homme. Merci, simplement.

Tintin Georges.
Photo 847414Monsieur Zdzislaw KOTARZEWSKI
C'est avec une grande tristesse que j'ai appris le décès de Monsieur aujourd'hui 😢 je garderai le bon souvenir de sa gentillesse et sa bonne humeur. Il va beaucoup me manquer 😢 de tout cœur avec Teresa, ses enfants Karine et Eric,ses beaux enfants, ainsi que ses petits enfants 🙏💔
Son aide familiale Nathalie m
Monsieur Thomas WEIBEL
Tout mes condoléances à la famille , merci pour tout ce que tu a fait pour moi tu seras toujours dans mon cœur repose en paix sois enfin heureux et n’oublie jamais que je t’adore . Avec toute ma sincérité
Photo 847551Madame Louise BOEUR
Nous vous présentons nos sincères condoléances à toute la famille
Photo 847363Monsieur Freddy DENOLF
Mon chère tonton sache que je t’oublierai jamais t’es rire et ta joie sera toujours graver dans mon cœur je suis très fière de t’avoir eu dans ma vie tu tellement me manquer je t aime repose en paix mon soldat
Photo 847363Monsieur Freddy DENOLF
Liefste Freddy,
De dag dat we vreesde is aangekomen je hebt gevochten als een leeuw maar de strijd was te zwaar en je bent stilletjes heengegaan.
Dit is geen afscheid maar tot ziens.
Bedankt voor al de jaren van herinneringen, bedankt om al die jaren mijn mama gelukkig te maken, bedankt voor alles wat je gedaan hebt.
Het gemis zal groot zijn.
Rust zacht ❤️
Photo 847183Monsieur Jacques JANSSENS
J ai eu la chance de bénéficier des cours d histoire de monsieur Janssens, un professeur comme il y en a peu.Humaniste,à l écoute avec une méthodologie qui nous faisait réfléchir sur le sens des événements passés.
Merci à ce grand monsieur et bon voyage
Photo 847293Madame Marianne FRANK
Je vous présente mes sincères condoléances
Photo 847299Monsieur Robert HENKINET
Nous assuronsl la famille dans la peine de notre profonde sympathie.
Photo 368090Madame Babette PETITJEAN
Qu'est ce qu'on parle de toi à la maison, grand-mère! Que je suis fier de toi, de ta vie, de ton histoire. De la femme qu'était ma grand-mère!
Photo 846683Madame Céline GEORGES
Mes plus sincères condoléances.
Que ta maman repose en paix.
Photo 846836Mademoiselle Winona BENIT
Devant ce douloureux coup du sort, je suis à la fois triste et décontenancé. Je voudrais vous apporter un peu de réconfort, mais, aujourd’hui, les mots me manquent. Recevez toute ma tendresse.
Photo 846606De heer Jan de Rooms
Aan de familie Rooms
Innige deelneming van de familie Montalto.
Veel sterkte in deze momenten, familie en vrienden.
R.I.P
Photo 846749Madame Victoria STEENHAUT
sincères condoléances au grand jean
Photo 846146Monsieur Fernand ROOS
Nous vous présentons nos sincères condoléances
Claudy Rita Demarche Wilkin
Photo 845552Monsieur Francis GUERITTE
Mr Gueritte est un professeur qui m'a beaucoup marqué, le cours de français n'était pas celui que je préférerais, mais le sien était fantastique. Merci du temps que vous nous avez consacré
Monsieur André MICHEL
Cher "Monsieur André" (comme nous, les enfants, vous appelions) après une longue maladie et un échec scolaire, je suis arrivé dans votre classe de 5ième primaire à Profondsart en septembre 1984. Je me souviens de votre bienveillance, de votre grosse barbe et de votre sourire. Vous étiez un instituteur qui nous donnait envie d'apprendre. Avec votre humanité, vous avez fortement contribué à ma reconstruction après ma maladie. Jamais je ne vous oublierai.

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