Condoléances
Voilà, une longue vie se termine, empreinte de moments de joie et de tristesse, empreinte surtout de magnifiques contacts humains. Si le mot gentleman se déclinait au féminin, il était fait pour elle. Merci, Madame Baeken, pour cette vie admirable. A présent, il faut fermer la porte de la chambre, et partir à pas feutrés, en silence, et la laisser se reposer. Elle l'a tant mérité, elle qui a tant travaillé. De tout cœur avec vous. Et à bientôt. Etienne Bourdon.
etienne bourdon- 05-02-25