Chère Sylviane, chère Dominique et famille,
Mes pensées vous accompagnent en ces moments difficiles et je suis là pour vous si besoin.
Sincères condoléances !
Maria (AJD)

Maria Senas- 22-08-24

C’est avec tristesse que j'ai appris la nouvelle et prends part à votre peine.
Je garde de bons souvenirs de Marc au bureau 'recouvrement' avec qui j'ai travaillé quelques années
Mes plus sincères condoléances à toute la famille et les proches.

Jessica, une ancienne collègue

Jesscia Persy- 22-08-24

Toutes mes condoléances à toute la famille, Marc était un homme entier et ouvert aux autres, toujours en forme.
Courage à vous
Bisous Carine

Carine MACORS- 22-08-24

A une époque, je me suis intéressé à l'origine des prénoms. C'est ainsi que j'ai découvert que le prénom "Marc" est lié à Mars, le dieu guerrier romain.
A cet égard, "notre" Marc a mené une vie qui fait honneur à Mars : une vie de batailles et de combats, qu'il a menés jusqu'au bout.
J'ai en mémoire les dîners lors de mes séjours à Woluwé-Saint-Lambert, lors desquels il me racontait ses différents conflits avec certains de ceux dont il avait croisé le chemin. Je ne comprenais pas tout, mais je me souviens qu'à l'époque, j'avais noté avec quelle passion il parlait de ses batailles.
Car oui, Marc était certainement passionné. Passionné au sens le plus fort du terme : aimer quelque chose au point d'en souffrir. Il aimait et savait profiter des petits plaisirs de la vie : les trains, la bande dessinée, l'informatique, le bon vin, les sports, les bons repas...
Je me rappelle d'ailleurs avec nostalgie d'une certaine forme de compétition entre mon moi adolescent et lui lorsqu'il s'agissait de manger autant que possible dans des restaurants à volonté...
Je peux donc conclure en disant qu'à travers son caractère passionné, Marc a certainement vécu une vie très douloureuse sous bien des aspects, mais également une vie très riche en émotions positives. Au final, il a donc embrassé la vie pleinement, sous ses différents aspects, vie dont le point culminant fut de réussir à transcender son décès futur en ayant recours à différentes stratégies pleines d'humour. C'est pourquoi, à mes yeux, il mérite d'être cité comme modèle à suivre lorsque la vie est plus difficile. Comme maintenant, par exemple.
Il faudrait se demander : "Comment Marc voudrait-il que nous célébrions son départ ? Aimerait-il nous voir le pleurer, ou au contraire le fêter ?"
Je penche pour la deuxième solution.
Marc ne souhaiterait pas qu'on pleure sa mort.
Il souhaiterait qu'on célèbre sa vie.

Thibault ZELLER- 25-08-24