J'ai rencontré pour la 1ère fois Lucien Ruchenne dans sa carrière de grès dans la vallée du Hoyoux en 1965. Je lui achetais des dalles pour faire des pas japonais.
Par la suite il a fait la maison de mon frère à Tihange et son épouse était cliente chez mon père, horticulteur à l'emplacement actuel de la centrale nucléaire de Tihange.
Mon plus jeune fils, après ses études à l'école hôtelière de Spa a pu faire un stage au Saint Amour à Durbuy.
C'est peu de dire que nous avons eu pendant tant d'années d'excellentes relations et un respect mutuel.
C'est donc avec beaucoup d'émotions emplies de tristesse que je présente, en mon nom et au nom de ma famille, mes sincères condoléances à Madame, à ses filles, à qui il a donné le goût du travail et à toute sa famille.

Jacki Pleinevaux- 20-03-21