Hommage
La mort est misérable,
elle te poignarde le coeur
Et elle te déconstruit.
Quelle est lourde à porter,
l'absence de mon père à moi.
Alors je reste là, au bord de mon passé.
et j'écoute la vie, s'installer à sa place.
Sa place qui, pourtant, demeure abandonnée.
Joël
Joël Charlier- 15-02-21