| Monsieur Jean BIXHAIN très chers, nous vous présentons nos condoléances pour la perte de votre papa, papy, grand-papa. Jean représente beaucoup dans ma vie: il est à l'origine de la raison pour laquelle je suis toujours membre de la" Royale Harmonie la Fraternité". En effet, lorsqu'il travaillait comme serrurier-soudeur à la papeterie Steinbach, il côtoyait mon père, André, et aussi mon beau-père, Charles Thérer, tous deux menuisiers à la papeterie. Et c'est Jean qui les a enrôlés à la société. Jouant au début de la trompette thébaine à la Fraternité mais aussi à la Mèsnîe do l'Haguète du Mâm'dî", c'est de cette manière qu'il s'est fait accompagné. Ensuite, c'est moi qui ais pris le même chemin en 1974. Prédisposé à jouer des mélodies à l'oreille comme mes prédécesseurs aux différentes sortie de la société, Tout comme moi, Jean m'admirait, mais pour des raisons différentes. Sa bonté, sa façon de s'exprimer lentement, son sourire, son rire, toutes ces situations m'ont profondément marquées. J'aimerais partager mes bons moments que j'ai vécu en compagnie de Jean avec ses petits enfants, mais à cause du covid, cela est quasi impossible. Soit. La dernière fois que j'ai pris un verre au café avec Jean ce fût "amon l'Roums", actuellement chez chou-chou en chemin-rue en compagnie de Henri Boemer. Nous avons partagé de bons souvenirs. Lorsque la Fraternité sortait le samedi soir du Cwarmê, c'est encore Jean qui s'occupait des éclairages au gaz pour porteurs de lampes... tout une histoire. J'espère que nous aurons encore l'occasion de se rencontrer pour en parler. Dieu ait son âme.
Jacques et Christine Arimont-Thérer
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